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Le Seigneur Des Poireaux

8 juin 2007

et maintenant?

    Voilà, c'est fait, le tome 1 du Seigneur des Poireaux est en ligne dans son intégralité. Et maintenant? Et bien je songe sérieusement à reprendre stylo et clavier et à écrire le tome 2, mais comme je ne fais pas toujours ce que je dit, je ne vous promet rien, je vais d'abord me replonger dans Les Deux Tours (film comme livre) et commencé à réfléchir et noter des idées ;). Si j'ai le temps (j'aurais le temps) et l'envie (c'est possible) et que j'ai pas la flemme (euh...) je pense que je vais vous faire ça pendant les vacances, mais je ne promet rien.

    J'ai pris beaucoup de plaisir à rédiger ce premier tome, j'espère m'amuser tout autant en écrivant la suite, (j'ajouterais d'ailleurs que vous êtes autoriser à commenter... Hein?... Bon bon, ok...) Et puis voilà c'est tout. Ah si! Ce tome 1 entrant dans le cadre d'un devoirs de français (pour les feignasses qui on pas prit le temps de lire mon premier message ;) ), je vous annonce que ce travail m'a rapporté un jolie 18/20 histoire de remonter ma moyenne :D (Quoi je me la pète? Mais non voyons...). Et merci encore à Flavien, pour les p'tites idées, les corrections et les elfes snipers ;).

A suivre...

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8 juin 2007

Toutes les bonnes choses ont une fin, le chapitre final!

CHAPITRE 6 : La forêt de
Lolderien.


Une fois le pont passé, les compagnons, accablés par le chagrin, sortir rapidement de la grotte. Ils traversèrent rapidement une petite plaine découverte et atteignirent en fin d’après midi le couvert de l’orée de la forêt de Lolderien. Ils n’avaient pour se repérer qu’une ancienne carte trouvée à la sortie du souterrain, un malheur n’arrivant jamais seul Glandalf, avait toujours le GPS lorsqu’il était tombé.  Le groupe avançait, insouciant du danger qui les entourait, car tout autour d’eux, des êtres étranges et discrets les observaient.
(Le dialogue suivant se révélant incompréhensible pour le commun des mortels, nous demandons à ceux-ci d’éviter les questions subtiles à base de «Mais qu’est-ce qui dit le monsieur papa ? »)

- Raaah mais arrêtes de bloquer ! cria l’elfe
- Chuuuut on va s’faire repérer ! Et puis je bloque pas je recharge mon Deagle… Et dis-moi-toi, qu’est-ce que tu fais avec un Famas ? T’es pu tireur d’élite ? s’étonna l’autre.
- Bah si mais un Famas est tout aussi précis qu’un Artic Warfare Magnum, ça fait du 900 mètres secondes et ça te transperce la queue d’une vache à 1800m… J’ai juste à mettre la lunette du Magnum, le passer en mode coup par coup et j’aurais un bon p’tit snip’.
- Mouais, n’empêche que je préfère mon awp (prononcer a-wape, autre nom du sniper), j’vais le placer là et attendre quelques chevreuils à shooter. Rien de mieux qu’un tir de snip’ bien placé dans la nuque d’une de ces bestioles.
- Tiens tu me le prêtes trois secondes que j’puisse utiliser la lunette, la mienne m’énerve, j’arrive pas à la foutre sur le Famas…
- Quoi, t’as vu un truc ? demanda-t-il, en scrutant les alentours
- Bah ch’ais pas mais j’pense bien avoir vu un truc bouger là bas, près de l’entrée de la forêt. Regardes par toi-même.
- A bah oui t’as raison ! On dirait un… euh, un… un groupe d’aventuriers ! Y’a un homme, euh non deux hommes. Trois nains… ah nan trois sortes de nain et un vrai nain.
- Ah ouais. Regardes on dirait qu’ils galèrent sur une carte, ils se bastonnent carrément entre eux ! Ahaha quelle bande de débiles !
- Raah, gueule pas comme ça ! On va s’approcher et leur tendre une embuscade, tu vas voir. »

Les deux elfes tireurs d’élite (issus de la famille des Thirâcoter, réputée pour leur soi-disante précision) s’approchèrent de la compagnie avec une grande discrétion (meilleure que leur précédente discussion, assurément). Arrivés à l’orée de la forêt, où étaient déjà rentrés les aventuriers, ils s’arrêtèrent afin de monter une stratégie pleine de mots compliqués :

- Bon, moi je rush là bas, j’prend Deagle et tu me couvre de ce côté, dit-il en effectuant de grands moulinets avec ses bras d’une façon tellement aléatoire que son coéquipier songeât à faire une incantation au dieu Sah Mü,
-Tu tempo ici, reprit-il, et dès que j’te fais signe tu rush du côté opposé où je serais, mais prend du gros calibre sur ce coup, rah mince t’as oublié ta M4.
- Nan j’économise j’ai pris la MP5-Navy ! Même si c’est allemand ça tir pas trop mal, mais c’est vrai que ça vaut pas un AK-47.
- Ouais bon on s’en fiche de tes propos racistes là… T’as compris ce que j’ai dis ?!
- Oui oui t’en fais pas, j’te couvre par là, toi tu vas là et dès que tu me fais signe je rush sur le côté opposé au tiens. Mais euh, on est que deux pour attraper 6 personnes ? Même si la plupart sont des nains y’a quand même deux hommes vachement bien armés… Regarde-les, ils ont des USP et le plus grand a même une M4 ! (il regardait l’armement de Grand-Plat avec des yeux luisants de peur).
- On dirait une poule qu’a trouvée un Glock 18mm… Allez viens, faut pas perdre de temps ! On est en infériorité numérique mais on a sûrement plus d’expérience ! Allez je lance la fumi, et on y va !

Clic, pfiouuuuuuu, toc toc toc toc, pffchhhiiiiii… (bruitage fait-maison de fumigène elfique, veuillez excuser le cruel manque de budget de cette scène.)
L’elfe dominant le duo parti comme prévu de son côté, l’autre exécutant ses ordres avec des yeux apeurés. Le groupe, ne comprenant absolument rien à ce qui pouvait se passer, fini par s’évanouir sous l’effet dévastateur de la fumigène elfique.
Manquant de peu le genou gauche de Jvëvomir, ainsi que l’avant-bras droit de Grand-Plat, le second elfe jeta son sniper et courru ligoter le groupe inconscient. La compagnie se reveilla quelques heures plus tard, laissant l’occasion aux elfes d’attaquer leur 14ème repas journalier.
Une fois la compagnie réveillée et les elfes rassasier, le groupe reprit son chemin à travers la forêt, les elfes étant sommés par la loi de présenter les prisonniers à leur reine avant de les massacrer gaiement. La compagnie aurait sans aucun doute apprécié la promenade s’ils n’avaient eu les mains liées et les yeux bandés.
Après plusieurs heures de marche, les elfes retirèrent les bandeaux de leurs captifs,  qui découvrirent alors ce que les elfes appelaient le plus fier mont de toutes les forêts de cette terre, mais qui, pour la compagnie, n’était qu’une vulgaire colline d’une altitude approchant celle de la tête d’un Babbit.
Cette cité, puisqu’il faut l’appeler ainsi, était la capitale de la Lolderien.
Ils gravirent rapidement la colline et pénétrèrent dans une cabane sordide que les elfes appelaient le palais de « l’Elément Lointains du Yack Somptueux et Enormement Elegant » (abrégé palais de l’ELYSEE par les feignants). Un serviteur annonçât alors :

- Sa majesté Galadrillette,  grande reine des elfes et des arbres indépendantistes.
Une sublime elfe apparut alors dans la cabane, sous les regards médusés des compagnons, elle prit place sur une élégante chaise de jardin en plastique.

- Pourquoi avez-vous tenté de nous attaquer aussi sauvagement ? demandât-elle d’un ton impérieux.
Les membres de la compagnie échangèrent des regards étonnés, ils ne se souvenaient pas d’avoir attaqué qui que se soit, en fait ils ne savaient même pas comment ils avaient pu se retrouver enchaînés les yeux bandés alors qu’ils consultaient simplement une carte à la fiabilité douteuse.
Grand-plat pris courageusement la parole et raconta les péripéties du groupe depuis son départ de Concombre, aidé par ses compagnons, ils parvinrent à convaincre la reine que non, ils n’étaient pas des terroristes. Ils y arrivèrent si bien que la reine, pour s’excuser leur fournis des chambres pour la nuit, des bateaux pour le départ sur le fleuve Kifëghlou et les convia à une cérémonie d’adieu.
Après une bonne nuit de repos sur des matelas gonflable infestés de puces, La compagnie se rendit sur les berges du Kifëghlou, où les attendais la reine et sa suite.
Pour nous excuser de la gêne occasionnée, permettez moi de vous offrir ces modestes présent, ils vont sûrement utiles dans la suite de votre quête.
Une procession d’elfe leur apporta les présents susnommés.

- Le bâtonnet magique de Pïhero Ghour'men.
- Le gantelet d'agilité de Deumingoch'.
- Le pot de fleur de Frangla mythairen.
- Les baskets de Charles Hazen’avoure.
- La prise de courant de Clahudi Fhr'Enssoi.
- Les 8 cuillères de la pieuvre pongiste.
- L'éponge runique de Sponht'Aix.
- Le pull à une manche du mendiant manchot de Glargh.
- Le tuba du monstre du Loch Ness.
- La casserole sacrée de Jean Piehr'kof.
- Les oreilles en plastique de Mick'Aimahousse.
- Le bracelet en laine du cousin germain de Mïkhe Jaigueur.

Après avoir remercié moult fois la reine pour ses précieux cadeaux, La compagnie embarqua à bord des barques elfique, Le Kik’oulvit’ et la Brahsscou’lè. Après quelques heures de navigation, ils arrivèrent aux chutes de Plhoüf’ghlou. Ils accostèrent pour passer les chutes par un sentier, en portant les barques, mais après quelques minutes de marche, Vieilgodass fit s’arrêter le groupe, l’oreille aux aguets. Une mystérieuse litanie résonnait dans les sous bois. Ils virent alors surgirent à quelques mètres d’eux une troupe constituée de mystérieux guerriers coiffé d’affros. Grand-Plat, qui n’était pas né de la dernière pluie, reconnut les terribles créatures qui allaient devoir affronter.

- Ce sont des guerriers Moumouth-Hai, une race créer par Saroulmann le magicien. Il a ressuscité les pires groupes des années 80 et les a soumis à sa volonté.
Les Moumouth-Haï entamèrent alors une terrible danse de guerre en clamant une incantation au dieu de la barbarie musicale.
- Dah’di ! Dah’di Kouhoule ! clamait les monstres.
Le groupe engageât alors un furieux combat, les moumouth’Haï, supérieur en  nombre, tuèrent Jvëvomir et emportèrent Merci et Pepin. Vieilgodass, Grand-Plat et Guili engagèrent une folle course poursuite, laissant Fredon et Sam seuls. Ceux-ci continuèrent donc leur périple vers les terres du maléfique Saumon.


FIN

- Ne restez pas là, cette histoire est terminée.
- Hey, mais c’est vachement brutale comme fin d’histoire !
- C’est normal, à l’origine il y’a une suite.
- Ah bon, bah salut.

6 juin 2007

Il est frais mon chapitre, il frais!

CHAPITRE 5 : Les grottes
De Mamamia



    Le lendemain (ou plutot le surlendemain car ils étaient fatigués, mais dans une bonne aventure on part toujours le lendemain) ils prirent la route pour le Meuldor. Glandalf avait préparé un itinéraire graçe à son GPS +8, mais il était inquiet. Il n’était pas sûr de pouvoir passer le col de Wassakaï, Elblond étant un radin notoire, il ne leur donna aucun autre véhicule que le vieux quad qu’ils avaient déjà. Le groupe parcouru rapidement les grandes plaines de Yaperssonissi. Après deux jours de voyage, ils parvinrent au pied du mont Yfëfroa et commencèrent une lente ascension vers le col de Wassakaï. Leurs pieds gelés s’enfonçaient profondément dans la neige, alors qu’ils passaient sous une corniche escarpée, Pepin éternua si fort qu’une masse de neige tomba de la corniche en leur coupant le passage. Après de nombreuses crises de nerfs, le groupe prit la décision de passer par la grotte de Mamamia, qui passait sous le mont Yfëfroa. Ils prirent donc la route pour les portes de Mamamia. Pour détendre l’atmosphère, Guili entonna une joyeuse chanson naine.

Voici l’histoire d’un elfe
Il mangeait dans un self
Mais un jour son repas
Attirât un gros bras

Il tua l’importun
Qui était un bon nain
Ce sort ne fit pas rire
Les amis du martyr

Ensemble ils se vengèrent
Les elfes ils tancèrent
Les nains plutôt fiers d’eux
Les traitants de sales gueux

Les elfes pas contents
Prient alors les devant
Ils lavèrent leurs cheveux
Et maquillèrent leurs yeux

Ils déclarent la guerre
Aux nains trop téméraires
Mais ils prirent une raclé
Et durent abandonner

Ils arrivèrent enfin aux portes closes des grottes de Mamamia. Glandalf stoppa le groupe devant une falaise abrupte.

- L’entrée est ici, les portes n’apparaissent qu’à la lumière de la lune, nous devrons attendre quelques heures, expliqua Glandalf.
Après une attente interminable de trente minutes, les rayons de la lune frappèrent la falaise, un motif formé de lignes argentées se dessina sur les flancs de roche, ainsi qu’un joli petit paillasson pour s’essuyer les pieds. Glandalf tenta d’ouvrir la porte grâce aux nombreuses formules alambiquées et incompréhensible qu’il connaissait. Mais la porte avait l’air aussi dure à ouvrir qu’une huître réticente.
Frelon remarqua alors une petite inscription en bas de la porte.
« Essuyez vos pieds. »
Il fit remarquer cette curieuse phrase à Glandalf. Le magicien sembla très intéressé par cette gravure.

- Une énigme, les nains sont très forts dans la résolution des énigmes. Il nous faudra trouver la solution pour entrer.
Le groupe se lança donc dans une longue réflexion. Après 10 min d’intense effort intellectuel, Fredon demanda à Glandalf :

- Comment dit-on « pieds sales » en langue naine ?
- Paï Hasshon, répondit Glandalf.

Instantanément,  la porte s’ouvrit sur les ténèbres du souterrain et un poulpe gigantesque surgit d’on ne sais où les poussa à l’intérieur et ferma la porte à clé. (ce que faisait ce poulpe par ici ne vous regarde pas.) La compagnie fût donc contrainte de continuer son chemin dans les mines, d’où émanait une persistante odeur d’égouts mal entretenus.  Après quelques heures de marche et plusieurs rencontres sanglantes avec des écureuils cavernicoles,  la compagnie s’accorda une nuit de repos bien mérité dans une salle abandonné qui se trouvait être, au grand bonheur de tout le monde, la cave à vin. A la fin d’une veillée riche en chanson et tonnelets de bière,  Le groupe trouva enfin le sommeil. Mais au beau milieu de la nuit, Pepin se précipita vers un puits au fond de la salle pour s’y vider l’estomac par la voie oesophagienne. Un sourd grondement monta alors des profondeurs du souterrain.
La compagnie se réveilla en sursaut. Les grondements semblaient se rapprocher.

- On s’arrache ! hurla Glandalf.
Le groupe ne se le fit pas répéter. Sans prendre le temps de ranger leurs affaires, pas même les chaussettes, ils s’élancèrent dans les couloirs, Glandalf, qui avait eu la présence d’esprit de prendre son GPS (comme quoi des fois, même les magiciens servent à quelque chose) guidait le groupe dans les sombres corridors. Ils débouchèrent alors dans une immense salle rectangulaire. Quatre immenses portes, une de chaque côté, s’élevaient fièrement, dans celle située en face du groupe, une étrange lueur vacillante luisait, de plus en plus intensément. Une terrible créature apparut alors face au groupe médusé. C’était un terrible…

- LAPIIIIIIN ! hurla Glandalf.

Le reste de la compagnie observait affectueusement la frêle créature,  affectueusement jusqu’au moment où elle se précipita sur eux en poussant un « DAAAAH » retentissant et en brandissant une saucisse de Morteau.

- A GAUCHE ! ordonna Glandalf, à qui la compagnie obéi étonnement vite. Leur folle cavalcade les conduisit à un pont étroit enjambant un profond précipice,  Glandalf fit traverser la compagnie, mais arrivé à la moitié du pont, il fut rattrapé par le lapin. Ils engagèrent alors un furieux combat, le lapin esquivant les sorts de clapier de Glandalf, qui repoussait courageusement les attaques saucisse du lapin. Enfin, dans un défoulement de rage, Glandalf parvint à jeter son terrible adversaire dans le gouffre. Il entama alors une curieuse, pour ne pas dire ridicule, danse de victoire. Hélas, le magicien se prit  malencontreusement les pieds dans sa tunique et tomba au fond de la fosse, sous les regards quelque peu surpris des ses compagnons, comme quoi, même battre un lapin ne rend pas invincible.

4 juin 2007

Le voici le voilà, c'est le chapitre 4.

CHAPITRE 4 : Le conseil
D’Elblond.


Lorsque Frelon repris conscience, il se trouvait dans un grand lit douillet, au milieu d'une grande salle emplie d’une douce lumière d’automne. Frelon admira l’architecture douce et arrondie, puis il se retourna dans son lit et là il vit…
- GLANDALF ! Qu’est ce que vous faites ici ?
Le vieux magicien était là, au chevet de Frelon. Il avait l’air plus fatigué que jamais mais un large sourire passablement édenté éclairait son visage.
- Glandalf, pourquoi n’étiez-vous pas à l’hôtel ?
- Et bien je me suis rendu à Isslagarde, pour y questionner mon vieux maître, Saroulmann. Mais j’ai dû essuyer…
- Une tâche ?
- Non, un affront. Saroulmann est passé du côté obscur de la force. Saumon a corrompu son esprit. Nous avons un autre puissant ennemi maintenant.
- Glandalf, que va-t-il se passer maintenant que j’ai remmené la bague à Concombre ?
- Oh, nous ne le savons pas encore, nous attendions votre réveil. Nous tiendrons le conseil avec Elblond et des représentants de chaque peuple.
- Qui est Elblond ?
- Elblond est le maire de la ville. C’est lui qui vous a soigné mon cher Babbit.
Frelon se rendormi. A son réveil, il eu surprise encore plus grande, son oncle Bilcon se tenait à côté de lui. Les retrouvailles furent chaleureuses. Il lui offrit une épée et un gilet pare-balle +14. Au couché du soleil, Glandalf vint chercher Frelon, le conseil allait débuter.
En arrivant au conseil, Frelon fut stupéfait, jamais il n’avait vu autant d’être différent rassemblés en un même lieu. Il y avait un nain niveau 3 nommé Guili, un elfe niveau 2 s’appelant Vieilgodass, Grand-Plat, qui était niveau 4 et qui avait pris un shampooing, un homme niveau 2 répondant au nom de Jvëvomir, Gandalf, et bien sûr Elblond.
Notre ville est-elle à votre convenance maître Saké ?
Oh oui, répondit Frelon enthousiaste, mais il y a un peu trop de publicité, c’est étouffant, ajoutat-il en se tournant vers un grand panneau ventant les mérites d’une certaine docteur Nibëlnimosh (la chirurgie esthelfique nouvelle génération).
Bien, reprit Elblond, je déclare ouvert le conseil de la bague.
Le conseil débuta donc, au bout de plusieurs heures de discussion intense, il fut convenu que la bague devait être détruite dans la montagne du festin, un volcan situé en plein centre du Meuldor, le pays de Saumon. Frelon se porta volontaire pour porter la bague jusque là-bas, ce qui faisait preuve flagrante de sa profonde stupidité. Guili, Vieilgodass, Grand-Plat, Jvêvomir et Gandalf décidèrent de l’accompagner, ce qui faisait preuve de leur profond courage. Au moment où Elblond allait déclaré la fin du conseil, Sam, Mercy et Pepin jaillirent d’un buisson en s’écriant, « on vient aussi, sinon on vous scie la jambe avec une cuillère à soupe ! ». Elblond, qui aimait ses jambes, céda sous la menace et autorisa les Babbits à se joindre à ce qu’il nomma Le Groupe de la Bague. (Et oui après 5 heures de réunion, même les elfes sont fatigués et en manque d’inspiration).

30 mai 2007

Aujourd'hui je m'ennuis, alors let's go pour le chapitre III

CHAPITRE 3 : Départ pour
Concombre

L'homme vêtu de noir attendait les Babbits dans leur chambre. Lorsque Frelon vit ses sombres vêtements, il paniqua. L’un des mystérieux motards les avait retrouvés. Tout était fini. L’homme se leva lentement de sa chaise défoncée, son imposante silhouette semblable à une ombre  semblait remplir la pièce d’obscurité. Soudain, il prit une grande inspiration, l’air semblait quitter définitivement la petite chambre. Alors l’homme poussa un long hurlement qui fît trembler les fenêtres :

- SUUUURPRIIIIISE !
Les Babbits était stupéfaient, Mercy se demandait si il n’avait prit six ou sept pintes de trop, tous les quatre observèrent l’homme qui venait de lever la capuche en poil synthétique qui recouvrait sa tête. Il avait un visage fin encadré de longs cheveux qui n’avait manifestement pas vus de shampooing depuis plusieurs années. Voyant que les Babbits n’étaient pas vraiment en état de répondre, il dit d’une voix quelque peu orgueilleuse :

- Je suis un ami, très proche soit dit en passant, de Glandalf. Il m’a accordé sa confiance, et il a eu bien raison, et ma demandé de vous retrouver ici.
- Qui êtes vous ? Demanda Sam avec un regard soupçonneux.
- On me nomme Grand-Plat, en raison de mon appétit qui est, parait-il, quelque peu développé.

Les Babbits remarquèrent alors la légère bosse camouflée par son large manteau que formait son ventre, et étant d’un naturel taquin, nous allons passer sous silence les quelques quolibets qui fusèrent à travers la pièce.

- Bien, reprit Grand-Plat légèrement refroidis par cet accueil, vous ne pouvez dormir dans cette chambre, les dangereux individus qui vous suivent vous y trouveront et vous y laisserez vos vies. Vous dormirez dans ma chambre cette nuit, nous partirons pour Concombre dès demain matin.
- Concombre ? S’étonna Frelon, pourquoi allons-nous à Concombre ?
- Ce que vous transportez doit être apporté aux Elfes, il ne peut rester en Gruyère, les motards noirs l’y trouveront.

Le lendemain matin, les Babbits se réveillèrent après s’être habillés et lavés, ils s’apprêtaient à partir, mais en passant devant la porte ouverte de la chambre pour Babbits, le groupe découvrit un véritable chaos. La chambre avait été saccagée, le sol était couvert de trace de roues. Profondément choqués par cette effroyable vision, (les Babbits sont connus pour leur frayeur des traces de roue) Frelon questionna Grand-Plat, redoutant d’avance la réponse à sa question.

- Qui sont-ils ?
- Ce sont les Nazbroks, des loubards au service  de Saumon. Autrefois ils étaient les plus grand caïds de la banlieue de Minus T’irrite, la capital du Condor. Mais Saumon les assouvis à son service grâce à une herbe à fumée magique nommée la Mokhëtt. Maintenant ils accomplissent ses moindres désirs pour avoir leur dose.

Le groupe quitta rapidement l’hôtel, Grand-Plat avait acheté à un vieux biker un quad +2 et une remorque qui semblait dater du temps où la Gruyère était encore pleine de trous. Le quad n’était certes pas rapide mais avec sa remorque, ils étaient dispensés de porter leurs lourds paquetages. Après une journée de marche, ils aperçurent au loin une éminence rocheuse.

-Voici le mont Oukïaduvent, expliqua Grand-Plat. Nous y passerons la nuit, c’est un commissariat abandonné et la plupart des bandits de grands chemins n’ose s’en approcher.

Après un copieux pique-nique constitué de sandwichs au schrink, la compagnie s’apprêta à passer une courte nuit au sommet du mont Oukïaduvent. Après quelques heures de sommeil, Frelon s’éveilla en sursaut, à quelques mètres de lui un cri strident et une étrange lumière l’étourdit quelques secondes. Il s’aperçut alors que les trois Babbit avaient allumé une lampe torche qu’ils faisaient tourner au dessus de leurs têtes en hurlant, ils riaient de bon cœur.

- Mais que faites vous pauvre fous ! S’écria Frelon affolé.
- Bah on joue au phare pourquoi ? répondit Sam. (Aussi étrange que cela puisse, paraître les Babbit trouve hilarant les phares, c’est pour ça qu’ils aiment aller à la mer, ce qui est passablement stupide étant donné leur peur panique de l'eau profonde...)

Frelon s’apprêtait à faire remarquer à ses compagnons leur totale imbécilité lorsqu’un un vrombissement de moteur retenti. Ils virent alors arriver de tout les côtés du leur campement les terribles Nazbroks. L’un d’eux sortit un énorme pistolet et tira une balle dans l’épaule de Frelon. Sans coup de semonce, ce qui montrait bien qu’ils ne faisaient pas partit du corps policier. Frelon n’avait pas encore touché le sol (oui les Babbits sont également connus pour leur capacité à chuter au ralentie) que Grand-Plat était arrivé d’on ne sait où armés d’un chalumeau.  Les Nazbroks apeurés prirent la fuite sur leurs motos. Grand-Plat se précipita sur Frelon. Celui-ci avait perdu connaissance.

- Il faut enlever la balle, dit-il, passez moi une petite cuillère.
Après quelques minutes quelque peu sanglantes, Grand-Plat parvint à extirper la balle de l’épaule de Frelon.
- Une balle de Morvul, elle est empoisonnée, si nous ne faisons rien rapidement il deviendra l’un d’eux. Nous avons besoin de médecine elfique, rapidement.

La compagnie prit la direction du gay…euh non, du gué de Brumatisen. Frelon, qui s'était réveillé, fut chargé dans la remorque et Grand-Plat libera toute la puissance de son quad (atteignant la vitesse hallucinante de 12km/h). Les Babbits furent contraint de courir derrière comme des tarés, en ayant la légère impression de se faire pigeonner. En chemin, ils croisèrent un elfe nommé Lofëglüglü qui prit Frelon sur sa Bëkann™ +8.
Ils atteignirent rapidement le gué, une fois passé, le pouvoir des elfes ralentit le poison dans les veines de Frelon. Mais au moment où Lofëglüglü s’apprêtait à quitter la berge, un vrombissement de fin du monde retentit. Les neufs Nazbroks arrivèrent sur l’autre berge, montant de superbes Arrlëy +15. Lofëglüglü réagis alors au quart de tour, il déclencha un puissant sortilège de Jnoalpoasson, provocant une crue magique qui emporta les Nazbroks.  A ce moment, Frelon perdit connaissance.

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28 mai 2007

Comme aujourd'hui c'est la fête, on vous offre de suite le chapitre 2

CHAPITRE 2 : En route pour
Bree Ville.

Le lendemain matin, Sam espérait avoir fait un mauvais rêve. Mais apparemment non si en jugeait à l’effort que déployait Frelon pour défoncer la porte de sa chambre.

- Sam, on va être en retard, lève toi ! S’écriait le jeune Saké.
Et bien non, Sam de rêvait pas, il devait aider Frelon à combattre l’empereur du mal en personne, c’était vraiment une journée pourrie qui s’annonçait.
Après un court petit déjeuner, les deux compagnons partirent à travers champs. Ils firent une rencontre à laquelle ils s’attendaient peu, deux cousins Babbit les rejoignirent en fin de matinée, Mercy et Pepin, puisqu’ils se nommaient ainsi, avaient entendus dire qu’ils devaient rejoindre Glandalf à Bree Ville pour une histoire de bague, Frelon s’étonna une fois de plus de la rapidité à laquelle se répandait les nouvelles en Gruyère. Les quatre compagnons continuèrent donc leur route vers Bree Ville. Quand soudain, vers 16 heures, un vrombissement retentit derrière eux.

- Quittez la route! s’écria Frelon en se jetant dans le fossé.
Les autres l’imitèrent, avec apparemment moins d’enthousiasme que Frelon puisque leurs corps ne produisirent pas le même "ZBLAM !" que celui de Frelon. Ils virent alors un motard tout de noir vêtu, passer à une vitesse folle devant eux. Ils reprirent prudemment leur route, Après plusieurs chutes précipitées dans les fossés pour éviter les nombreux motards noirs ils décidèrent de couper par le vieux bois. Mais en plein cœur du bois ils rencontrèrent un curieux personnage du nom de Tom Lebondeal. Après avoir passé quelques heures, dont ils gardèrent un souvenir étonnement flou, ils arrivèrent à Bree Ville à la tombée de la nuit. Ils trouvèrent facilement l’hôtel du Poney qui Tousse, Frelon questionna le patron,qui se souvint difficilement de Glandalf.

- Glandalf… Glandalf, réfléchit-il, aaaaah… Glandalf ! Un grand type barbu !
- Oui, répondit Frelon, pouvez vous nous annoncer à lui ?
- Bin c’est qu’il n’est pas venu depuis 8 ans, il a refusé de me payer son tonneau de bière et il s’est enfui avec la caisse, je peux vous dire que si il s’aviserait de revenir par ici, j’irais le cueillir d’un grand coup de pied au c…

Frelon remercia l’hôtelier et retourna auprès de ses amis. Ils décidèrent de passer la nuit à l’hotel et d’attendre Glandalf jusqu’au lendemain. Frelon réserva donc ce que le patron lui avait présenté comme « une coquette chambre pour Babbit » Mais qui ressemblait plus à un garage avec des demi-lits. Frelon remarqua aussi un meuble étrange dans un coin. Il s’aperçut en fait que le meuble était un homme assis sur une chaise miteuse à laquelle il manquait un pied.

27 mai 2007

Comme promis, le premier cahpitre de notre aventure, bonne lecture ^^

Le Seigneur des Poireaux
Tome 1, le groupe de la bague

CHAPITRE 1 : La fête.

Le 22 septembre 2007, dans la lointaine Terre des Ptivieux, dans la région de Gruyère, vit un peuple étonnant nommé les Babbits. L’un d’eux, Frelon Saké, s’apprêtait à fêter son 33ème anniversaire, en même temps que les 111 printemps de son oncle Bilcon. Frelon avait été élevé par son oncle, après la mort de ses parents. Frelons avait alors aidé son oncle à tenir la ferme de poireaux qui avait fait sa fortune. Tout le monde s’accordait à dire que Frelon excellerait dans ce domaine et qu’il était amené à devenir le nouveau seigneur des poireaux. Mais de poireaux il n’était pas question à se moment là, Frelon et Bilcon s’occupaient des derniers préparatifs de leur garden party. Ce devait être la fête la plus somptueuse depuis le temps où les Babbits se délectaient encore d’ovaires d’ours en gelés, un plat immonde qui n’était plus cuisiné depuis des lustres. Mais alors que Bilcon s’affairaient autour de la table d’honneur et que Frelon essayait d’avoir du réseau avec se foutu portable +1, une ombre vint masquer le soleil brillant de cette fin d’été. Bilcon et Frelon se retournèrent d’un même mouvement.

- Glandalf ! S’écriât Bilcon, je ne vous attendais plus, sa fait un bail mon vieux !
- Oh oui mon cher Bilcon, répondit le vieux magicien avec un grand sourire, bien des années ce sont écoulées, mais je ne pouvais manquer une telle occasion de faire péter la baraque, 111 ans, qui aurait crut !
- C’est cool de vous revoir Glandalf, dit Frelon.
- Tout le plaisir est pour moi mon cher Frelon, à ce que je vois cette fête promet d’être grandiose !

Et pour une fois, le vieux magicien avait dit vrai, toute la nuit, les chopes se vidaient, les panses se remplissaient et les discussions endormaient. A la fin du festin, Bilcon se leva pour prononcer un discours quelque peu soporifique, mais la surprise vint lorsque Bilcon s’écriat soudain :

- Bye bye les mecs !

Et disparus soudainement. Cette disparition soudaine eue pour effet de réveiller l’assemblée plus efficacement qu’un pitt bull chantant la cucaracha. Où était donc passé ce fichu Babbit ? Il ne pouvait pas disparaître avant de faire un testament quand même !
Pendant que les convives étaient occupés à partager ses nombreuses possessions terrestres, Bilcon rentrait tranquillement chez lui, à Cul-de-Vache. Il riait de bon cœur mais il cessa aussitôt lorsqu’il se retrouva devant un Glandalf furieux qui l’attendait dans son salon.

- Il existe plusieurs bagues de pouvoir Bilcon et aucune ne doit être utilisée à la légère, lança Glandalf, Vous êtes vraiment inconscient !
- Boah, je voulais juste m’amuser un peu, vous avez vu les tronches qu’ils ont tirées ?
Glandalf lança un regard noir à Bilcon.
- Bah ! Vous avez sans doute raison pour une fois.
- Cette bague pourrait bien être particulièrement dangereuse Bilcon, vous devriez ma la laisser.
- Ah bah ok, de toute façon moi je pars à Concombre, j’en ai ma claque des poireaux.
- Très bien, j’en prendrais grand soin ne vous inquiétez pas.
- Très bien Glandalf, il ne me reste plus qu’a vous dire au revoir mon vieil ami.
- Au revoir mon cher Bilcon.

Ainsi parti Bilcon, il avait décidé depuis plusieurs semaines de quitter la Gruyère pour partit à Concombre, la ville elfique, il n’en avait parlé à personne et avait préparé une lettre où il léguait tout ses biens à Frelon, ce qui rendait ridicule les arguments que les Babbits déployait à ce moment là sur les lieus de la fête.
Après deux heures de débats acharnés pour conserver la ferme aux poireaux, Frelon laissa les convives à leurs discussions et retourna chez son oncle, mais d’oncle il ne trouva point, il ne trouva que Glandalf et ça c’était plutôt embêtant pour son héritage. Mais Frelon s’aperçut alors de la mine renfrognée de Glandalf, et comme dit le proverbe, « magiciens pas content, ennuis droits devant. »  Frelon remarqua alors que le magicien se livrait à un curieux rituel, il faisait cuire la vieille bague de son oncle dans le four.

- Mais qu’est ce que vous fabriquez là Glandalf ? demanda Frelon pour le moins intrigué.
- Ah vous voilà vous ! Figurez-vous que Bilcon est partit pour Concombre, il vous lègue d’ailleurs tous ses biens.
- QUOI ?? s’écriât Frelon, vous voulez dire que tout le monde se dispute pour rien à la fête ?
- Bah ouais, répondit Glandalf, mais le plus important est ici, dit Glandalf en sortant la bague du four, prenez là Frelon, elle n’est pas chaude.
Frelon se saisit de la bague et la regarda avec un air légèrement ahurie.
- Vous ne voyez rien d’anormal Frelon ?
- Bin non, répondit le babbit, attendez, rectifiât-il, il y’a des écritures qui s’inscrivent sur le bord !
- Que disent-elles ?
- You are the winner, répondit Frelon.
Glandalf lâcha alors une série de jurons qu’il serait inconvenable de retranscrire ici.
- Mais enfin Glandalf, s’étonna Frelon, que signifie tout cela ?
- Cela signifie que des femmes pratiquant une activité lucrative ont…
- Mais non pas ça, coupa Frelon, que signifient ces inscriptions ?
- Ah ça ? et bien cela signifie que cette bague, comme je le craignais, est la bague de pouvoir créée par Saumon, l’empereur du mal, et que nous devons la détruire car si il met la main dessus, il aura alors assez de pouvoir pour prendre le contrôle de la Terre des Ptivieux et réduira tout les peuples libres à l’esclavage, on sera vraiment dans la m…

Glandalf se retourna soudainement, le buisson situé sous la fenêtre venait de hoqueter bruyamment. Il s’approcha discrètement de la fenêtre et tandis soudain les bras vers le buisson et en arracha quelque chose qui n’était  ni une feuille, ni une branche, ni un bourgeon. En réalité la chose était un jardinier au service des Saké, il se nommait Samagace Gamegear, mais tout le monde l’appelait Sam, c’était plus simple.

- Maître Gamegear, vous écoutiez à la fenêtre ! S’écria Glandalf.
- Oh vous êtes fort, répondit Sam, votre sens de la déduction m’étonnera chaque jour un peu plus.
- Qu’avez-vous entendu ?
- Oh pas grand-chose, des histoires de bague et aussi un peu sur la fin du monde et aussi qu’on était vraiment dans la m…
- Ca suffit, coupa Glandalf, puisque vous semblez vouloir vous occuper de ce qui ne vous regarde pas vous allez être servis. Vous allez partir dès demain avec maître Saké pour Bree Ville, retrouvez moi à l’hôtel du Poney qui Tousse, je dois me hâter.

22 mai 2007

Le début d'une grande aventure.

Vous aimez Le Seigneurs Des Anneaux? Vous aimez les trucs stupides? Vous aimez les phares? Alors ne manquez pas:
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Mais qu'est ce que c'est que ça? Et bien très chers lecteurs (ou Mr J'ai-cliqué-là-sans-savoir-pourquoi), ceci est la parodie du premier tome de la trilogie Le Seigneur Des Anneaux, la géniallissime oeuvre de J.R.R. Tolkien. Mais pourquoi? A l'origine, un devoirs de français un peu ennuyeux au premier abord, mais, comme vous le dévrirez prochainement, c'est révélé être très....constructif. C'est finallement avec enthousiasme que nous avons commencé, moi et mon compère Flavien (mais surtout moi :p), à rédiger ce qui devait être au départ un tout petit article de journal, mais qui c'est rapidement transfomé en une nouvelle parodique d'un quinzainne de pages. Pour l'instant, seul le premier tome est écrit, les suivants seront peut-être rédiger un jour.

Je vous invite donc à revenir très prochainement pour découvrir ici même le premier des six chapitres du Seigneur Des Poireaux: Le groupe de la Bague....

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